Friday, March 20, 2009

Quarter brick, Half a brick, whole brick




Stérilisation de la population mondiale, épopées subaquatiques dans le triangle des Bermudes, radiations de Cherenkov et asymétries faciales : l’univers de Drexciya défonce sur toute la ligne et arriverait presque à me faire oublier toute les esthétiques atroces que la culture techno a pu engendrer.
Mais laissons ces conspirations nazies scientifiques deux minutes. En 1991, le jeune Gerald Donald prenait l’énigmatique pseudonyme Glass Domain pour produire un maxi d’electro froide, typique de l'école de Detroit. Sauf qu'en dernier arrive un prototype sans suite : Interlock. Vantant les possibilités infinies de la petite brique danoise, ces 109 secondes naïves de pop électronique sont, je crois, nos dernières armes contre les deux prochains fléaux à venir: la grande dépression et le nouvel album de Röyksopp.






Snap the pieces together
All shapes and sizes
Create your imagination
There is no limit for you
Lego blocks
Boats planes automobiles
Just to name a few
They can all be created
By your mind and you
Lego blocks

5 comments:

Anonymous said...

perso j'suis assez "black sea" du ptit Gerald

Anonymous said...

Tiens tu ecoutes autre chose que du rap mainstream east coast, c'est bon de le savoir. Mais bon ce morceau, outre sa qualité sonore déplorable, me rapelle un peu trop un blog coloré que je me suis juré de ne plus visiter...
Dommage.

Anonymous said...

Ouai, le rap mainstream, fais chier. Il vaut mieux écouter plutôt le dernier album de Sage Francis et se refaire une compil rawkus.
Je trouve que ce dopplereffekt de derrière les fagots défonce toutes les fluokidseries de l'existence.

Anonymous said...

C'est Glass Domain, pas Dopplereffekt, même si le dénominateur commun est le même... Attention à ne pas prendre la culture pour de la confiture.

Anonymous said...

yeah! moi j'adore les lego blocks! snap the peaces together, man! create ur imagination, there is no limite for u! ça s'passe comme ça mec!