Ah, quoi de mieux pour illustrer la grandeur du Reich qu'un gentil portrait coloré de cet animal tendre/brutal qu'est le Berger Allemand.
Tendre/brutal, mais aussi doté d'un coeur gros comme ça, et c'est par cette pirouette astucieuse que je fais intervenir la musique de Dj Tonka, superstar House des années 90, devenu légendaire depuis le "Teachers" des Daft Punk, faiseur de tubes devant l'éternel et digne représentant du pays de la SAUCISSE cher à mon ami Telefuß.
Tendre/brutal, mais aussi doté d'un coeur gros comme ça, et c'est par cette pirouette astucieuse que je fais intervenir la musique de Dj Tonka, superstar House des années 90, devenu légendaire depuis le "Teachers" des Daft Punk, faiseur de tubes devant l'éternel et digne représentant du pays de la SAUCISSE cher à mon ami Telefuß.
Pote de lycée avec l'autre légende Disco-House Ian Pooley, les deux partenaires-en-crime ont explosé les dancefloors de Francfort et d'ailleurs sans relâche depuis l'époque bénie où je ne devais avoir que 10 ans.
A l'heure où tout le monde ne parle que de Disco et d'un "retour" de la musique de maison (qui n'est jamais partie), il paraissait nécessaire de revenir sur ce digne représentant d'une Wundervolle Jugend oubliée. Oui, les allemands savent aussi groover, même s'ils se refusent un peu à le montrer ces derniers temps.
A l'heure où tout le monde ne parle que de Disco et d'un "retour" de la musique de maison (qui n'est jamais partie), il paraissait nécessaire de revenir sur ce digne représentant d'une Wundervolle Jugend oubliée. Oui, les allemands savent aussi groover, même s'ils se refusent un peu à le montrer ces derniers temps.
Premier exemple, première turbine, "Phun-ky", comme un message de paix et de guerre à la fois, une sorte de House grossière évoquant Norman Cook et ce que l'on appellera plus tard le BIG BEAT. Nous sommes en 1995.
Deuxième acte: "Old Skool" avec une voix de noir en boucle qui nous dit qu'il faudrait retourner dans l'ancienne école, un breakbeat beaucoup trop sale, puis d'aures voix un peu féminines qui chantonnent des trucs un peu indescriptibles. Bien plus qu'un tool ultime, ultime tout court.
Alors là, soyons clairs et immédiats: ce remix parfait du "Put your hands up" des Black & White Brothers, c'est à la fois une relecture de vos booms de fin d'année + une publicité SOS-Amitié. "Un mal, des mots" mais en version Speed Garage.
Et pour la fin, le meilleur extrait de son album "84" sorti il y a trois ans qui s'appelle aussi "84". De l'Italo-Disco sensible sauf que depuis, notre ami Tonka a aussi écouté Eric Prydz. Chevaleresque soit, mais beau.
5 comments:
Ah Tonka !
Il devient quoi Ian Pooley ! Je suis triste que personne ne joue en soirée "Venasque" où il fait 3 pierres de coup en samplant un jingle de rire et chansons, michel jonaz et Elie Semoun dans une seul et même chganson !
Longue vie à vous les amis
c'est toi le cheval
bien vu tonka c'est du pur plaisir, j'ai ses disques bien au chaud dans ma collection rangés à côté de ceux de ian pooley ;-)
great blog!!
"House grossière évoquant Norman Cook"
je crois que ce dernier l'a inséré dans un de ses cd mixés. Phun-ky d'ailleurs, que j'avais loupé à l'époque mais ce gros balourd de Cook m'a évité de passer complètement à côté.
Pour le morceau de Ian Cotcot, la légende veut qu'il écoutait rire & chansons dans la voiture avec ses parents en se rendant sur la côte francaise pendant l'été (Pooley a été dj très jeune celà dit). d'où ce sample de Seimoun. j'ai toujours pensé que c'était bidon cette histoire, mais avec les allemands, on sait jamais ...
Phun-ky is my shitititit!!!! I was gonna post that soon! Y'all beat me to it.
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