Sunday, December 09, 2007

We live as one family




Quand le titre contient une date située entre 1985 et 1992, période dorée de toutes parts, c'est souvent gage de bon goût. En revanche quand l'artiste s'appelle Moby, et que l’histoire se passe en 2007, là on est tout de suite moins enthousiaste et on se rassoit directos. Et c’est précisément là qu’on intervient chez corporate, en usant de caractéres gras et surdimensionnés pour vous inciter à ne pas passer à côté de ce nouveau Moby. Hommage à une scène qui l'a vu consacrer, avec des rave anthems comme Go ou Move entrés depuis dans le hall of fame.
Everyday nous place quelques années en avant, durant le summer of love où tout le monde il fait la fête, tout le monde il est déconneur, dans une ambiance pacifiste décontractée. Inutile de préciser que les pianos ont répondu nombreux à l'appel, et que la diva remplit à merveille son contrat. Les violons sont également de la fête, pour relever le tout.

Sur l’autre face, "stars" se veut davantage techno 91/92 avec sa bassline pas amical pour un sou, et son ambiance de stade. Moins convaincant.

5 comments:

Anonymous said...

Excellent!

Anonymous said...

tripan le son alé @+++++

Anonymous said...

Vachement WAHOO ce Moby, thanks mate!

Anonymous said...

apparement son album va être dans ce délire là

il fait comme pour Play, il sample des vieilles voix mais ce coup ci il met de la techno à la place du trip hop par dessus

pas très fan même si ça reste mieux que son horrible dernier album semi rock

Acid Nerd said...

Son cycliste dans Move est super dossier