Matias Agayo est un mec engagé. Pas contre la pauvreté ni la fuite des inuits de leur territoire. C'est un mec engagé contre les étiquettes hâtivement attribuées. Les étiquettes sur sa musique tant chérie, il s’en sert pour essuyer ses petites fesses argentines.
En fait les lauriers reviennent surtout à l’inusable DJ Koze qui recadre le track avec toute la décontraction qu’on lui connait. Et Adolf Noise, il en connait déjà un rayon sur la sensualité, si on se rappelle de son remix du Naked de Sid Lerock.
C'est typiquement le genre de morceau que les mecs en tee-shirt coton blanc avec un large col en V + tongues s'approprient en fredonnant des faux trucs en espagnol.
En fait les lauriers reviennent surtout à l’inusable DJ Koze qui recadre le track avec toute la décontraction qu’on lui connait. Et Adolf Noise, il en connait déjà un rayon sur la sensualité, si on se rappelle de son remix du Naked de Sid Lerock.
C'est typiquement le genre de morceau que les mecs en tee-shirt coton blanc avec un large col en V + tongues s'approprient en fredonnant des faux trucs en espagnol.
Je n'ai pas en mémoire une collaboration entre un mec de Cologne et un frère de Detroit. En fait j'ai l'impression que la techno de Detroit n'est jamais parvenue jusqu'à Cologne, contrairement à Berlin (Tresor), bienentendu.
Ici, deux personnes aux physiques plutôt, hum, éloignés, mais aux ambitions similaires : celles de de charmer l'auditeur à coup de poses chocs.
Les premières secondes semblent indiquer un Aaron Carl en rut (mon dieu), mais finalement, le remix se révèle plutôt sensible avec ces sortes de claviers/violons auquel on est en droit de dire " très Detroit".
Ici, deux personnes aux physiques plutôt, hum, éloignés, mais aux ambitions similaires : celles de de charmer l'auditeur à coup de poses chocs.
Les premières secondes semblent indiquer un Aaron Carl en rut (mon dieu), mais finalement, le remix se révèle plutôt sensible avec ces sortes de claviers/violons auquel on est en droit de dire " très Detroit".
Il est grand temps d’ouvrir le chapitre des morceaux ULTIMES jamais sorti sur Kompakt. Honneur au chef de la tribu, accompagné de son protégé de toujours : le petit frère du grand Wolfgang. Un binôme pas du tout inédit, mais aux facettes assez distinctes : la finesse de Mayer et la puissance destructrice sans arrières pensées de Reinhard.
En sortant ce genre de truc (Total 5 2003), Kompakt est à peu près sûr de régner sur l'Allemagne pendant plusieurs siècles.
En sortant ce genre de truc (Total 5 2003), Kompakt est à peu près sûr de régner sur l'Allemagne pendant plusieurs siècles.
4 comments:
jaime bien la minimale
Basta ya de M.I.N.I.M.A.L!
la musique s'écoute avec le coeur pas avec la tête
je kiffe
20/20 pour ce post allemand
BRAVO
mais tu écris ça comme ça, TONGUES? comme les Natives TONGUES? le groupe "Native" en tongs? c'est la vie que veut ça?
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