Depuis que le rap paye en K dollars les artistes pensent tous comme comme Master P avec le RBL Posse, ils cherchent à faire un dollar à partir de quinze cents.
Malheureusement en 2008 l'heure est à la moins value pour tous ces rappeurs.
I/
L'Arab Money fait peur est devenu sacrément cool depuis que l'on sait les plus grosses fortunes ressemblent à des gangsters en grands boubous. Mais aujourd'hui il serait marrant de demander au Prince Waleed ce que l'on peut faire avec un petrodollar ou avec une action Citigroup:
plus grand chose.
Résultat, Bustah Rhymes est le grand perdant de cette crise puisqu'en plus d'être ruiné il aura droit à la peine de mort pour avoir flirté avec la finance islamique.
II/
Jusqu'à avant-hier, la plupart des banquiers privés Genèvois avaient encore les numéros de téléphone de Jay Z & P Diddy, toujours disponibles pour s'échanger leurs adresses de couturiers préférés ou converser sur les derniers placements, vu que ces deux mecs représentent quand même l'entrepreneur noir à son meilleur. Tout ce qui a pu se passer pour eux sur les marchés actions à été catastrophique. Leur richesse a du réduire d'au moins 30%. Leurs acquisitions de l'année dernière qui portaient dans le domaine des spiritueux doivent leur laisser également une sacrée gueule de bois. En revanche je tenais à féliciter Diddy pour sa prise de participation dans cette marque de textile pour femme (Enyce pour 20 millions de dollars), inspiré peut-être par Warren Buffet au top. Et comme il le dit si bien dans le remix d'Arab Money "Fuck The Recession / Im Still Investin", dans le jargon on appelle ça faire une moyenne à la baisse.
On pense que c'est pour ça que Jay Z continue ses come backs bien tristes dans la musique et qu'il a tout pour faire un album avec coldplay: vivement le retour du Bull Market.
Malheureusement en 2008 l'heure est à la moins value pour tous ces rappeurs.
I/
L'Arab Money fait peur est devenu sacrément cool depuis que l'on sait les plus grosses fortunes ressemblent à des gangsters en grands boubous. Mais aujourd'hui il serait marrant de demander au Prince Waleed ce que l'on peut faire avec un petrodollar ou avec une action Citigroup:
plus grand chose.
Résultat, Bustah Rhymes est le grand perdant de cette crise puisqu'en plus d'être ruiné il aura droit à la peine de mort pour avoir flirté avec la finance islamique.
II/
Jusqu'à avant-hier, la plupart des banquiers privés Genèvois avaient encore les numéros de téléphone de Jay Z & P Diddy, toujours disponibles pour s'échanger leurs adresses de couturiers préférés ou converser sur les derniers placements, vu que ces deux mecs représentent quand même l'entrepreneur noir à son meilleur. Tout ce qui a pu se passer pour eux sur les marchés actions à été catastrophique. Leur richesse a du réduire d'au moins 30%. Leurs acquisitions de l'année dernière qui portaient dans le domaine des spiritueux doivent leur laisser également une sacrée gueule de bois. En revanche je tenais à féliciter Diddy pour sa prise de participation dans cette marque de textile pour femme (Enyce pour 20 millions de dollars), inspiré peut-être par Warren Buffet au top. Et comme il le dit si bien dans le remix d'Arab Money "Fuck The Recession / Im Still Investin", dans le jargon on appelle ça faire une moyenne à la baisse.
On pense que c'est pour ça que Jay Z continue ses come backs bien tristes dans la musique et qu'il a tout pour faire un album avec coldplay: vivement le retour du Bull Market.
5 comments:
n'écorchez pas le nom de mon ex-ami le prince AL-Waleed svp
Diddy sur Arab Money c'est le couplet le plus cool du moment
cet article sent bon les $$$ en cash money
l'heure est à la gloire de l'entrepreneur arabe t'entends jeune mécréant.
donc achètes-toi un chameau et respecte le keffieh
connexion arabe t'entends
thanks léo!
lashkmi mitallin'
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