J'aime bien tout ces morceaux teamplay qui fleurissent partout en ce moment. Déjà début 90 et certainement bien avant, Daniel Bell, Rich Hawtin et Acquaviva s'assemblait pour former une équipe d'experts. Aujourd'hui, Leave the world behind est un morceau capable de fédérer au moins plusieurs tribunes d'un stade d'Europe du nord, Life goes on est juste poignant de sincérité, alors que Waves sublime la quintessence de la musique technologique des années 2000.
Dans ces trucs on ne sait en général pas trop qui fait quoi mais pour ce dernier on a bien une petite idée. On peut imaginer que le sulfureux personnage britannique à la chevelure effilée ait hérité de la position dominante pour mener la séance, tandis que le gagnant du BINGO berlinois s'efforce de faire tourner ses machines. "Je verrais bien une once d'écho Hallway avant le break" annonce Erol. "Charge ce template de synthé analogique, c'est un pote de Tokyo qui me l'a filé" surenchère-t-il alors que l'iranien s'exécute sans broncher.
Il n'empèche que ce morceau et celui qui complète le maxi (31 aout, Boys Noize Records) représentent bien plus que de simples entrées sur-fréquentées sur hypem. Il s'agit du summum du divertissement numérique que l'Homme peut physiquement déployer, proche des limites définies par Darwin. C'est une montagne russe avec ses montées hyper pression, ses passages fun, et d'autre où je crois que t'es censé flipper ta race.
PS : il y a un bruitage de plongeon dans ce morceau.
7 comments:
sabrina (h)
C'est quand même bien merdique tout ça.
J'ai l'impression d'entendre un sous-Positif avec des bruitages cheap-(simianmobile)disco.
vive l'autoparodie
jcrois qu'il est turc, et non iranien.
lectur ézé é drol voila komen jm lir l'aktu, merci
attendez ils lui ont mis la pyramide illuminati autour du cou où je délire?
free masons et free maxB aussi.
je parle du black
telefuss arrete de te branler, on sait que t'as des capacités.
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